[L'Héritier de l'Empire] Ouki lè l'mioche ?!

"CÉ MOI KI È L'MIOCHE !


Signé l'Boss Koznid"


Telle était la teneur de divers parchemin à la propreté douteuse qui avaient été placardés dans les Principautés Frontalières aux portes de diverses cités proches des Terres Arides. Là-bas la réputation du Boss Koznid et de son clan des Verts Frappeurs n'était plus à faire. Les peaux-vertes étaient connues pour leurs raids meurtriers contre les caravanes qui tentaient la traversée vers l'Arabie. Plusieurs fois déjà Koznid avait même été jusqu'à réunir une grande horde pour marcher contre les villes humaines. Le seigneur de guerre Orque était tellement avide de combattre qu'il en oubliait toute prudence.

Et cette fois-ci il avait peut-être un peu trop forcé sa chance. Personne dans les Principautés Frontalières n'imaginait qu'il avait vraiment pu mettre la main sur l'Héritier que l'Empire et ses alliés cherchaient dans tout le Vieux Monde, ce n'était pour lui qu'une façon de provoquer de nouvelles batailles. Et une telle revendication ne pouvait pas rester lettre morte de la part de l'Empereur, bientôt une puissante armée impériale traversa la région pour s'enfoncer dans les Terres Arides...



L'affrontement entre l'Empire d'Olrick et mes Orques & Gobelins au format 1500 points sera joué demain au Crazy Orc à partir de 14h.

Rapport de bataille à suivre...

Rapport de "bataille" en cours d'écriture...

La bagarre ! La bagarre !

Le plan du boss Koznid était parfait ! Il avait déployé ses Verts Frappeurs à proximité d'un petit campement Orque abandonné afin d'intercepter l'armée impériale en marche. Bien entendu il n'avait pas du tout capturé l'gone de l'Empereur, c'était la baston qui l'intéressait et il n'entendait pas laisser les humains passer son territoire au peigne fin sans leur imposer une grande bataille.
Alors que le général de l'Empire faisait progresser ses troupes avec prudence, Koznid laissa son armée exécuter le plan qu'il avait conçu. Les Gobelins devaient tenir l'aile gauche avec les troupes à pied en position dans un petit bois de palmiers. Au centre se tenaient le Grand Machin, son Géant de compagnie, avec un Lance-Rocs, Koznid espérait que ce duo tiendrait les humains à distance. Enfin sur le flanc droit il menait ses troupes les plus puissantes : les Orques Noirs et les Ogres soutenus par ses guerriers prendraient position dans le campement abandonné pendant que les chevaucheurs de sanglier et les chars gobelins le contourneraient.
C'est avec satisfaction que le boss Orque vit son clan exécuter ses ordres à la perfection. Les zumains pouvaient toujours venir, ils allaient voir ce qu'ils allaient voir.

Et là ce fut le drame...

Nullement impressionnés, l'armée impériale continua sa progression. Les canons ouvrirent le feu sur le Grand Machin et le Lance-Rocs, empêchant ce dernier de répliquer et provoquant la colère du Géant qui se précipita vers les lignes humaines pour se faire submerger et tuer par les hallebardiers sans même réussir à leur infliger la moindre perte.
Sur le flanc droit, ses troupes d'élite piétinaient dans le village et sa cavalerie refusait obstinément d'avancer plus. A la grande surprise du béliqueux boss Orque, le général humain ne partageait pas son goût pour les massacres inutiles et il avait trouvé plus prudent de ne pas chercher à forcer la ligne des peaux-vertes à cet endroit. C'est sur le flanc gauche qu'il frappa. Des Chevaliers escortés par des Pistoliers contournèrent la position des régiments de Gobelins à pied pour fondre sur les chevaucheurs de loups et les massacrer jusqu'au dernier. La cavalerie impériale poussa en avant et prit le Lance-Rocs de flanc pour le réduire en pièces.
Au centre, après avoir mis fin au jour du Grand Machin, l'infanterie impériale put avancer sous le couvert des canons.

Les zumains n'avaient perdu qu'une poignée de guerriers et ils dominaient largement le champ de bataille, obligeant le boss Koznid à fuir plein de honte.

Quelques jours plus tard, le général impérial étaient en mesure de confimer que l'Héritier de l'Empire n'avait pas été capturé par les Verts Frappeurs et son armée battit en retraite vers l'Empire.


Scénario : Invasion
Durée : 6 tours
Victoire de l'Empire (Lumière)















Alors que je suis actuellement en plein trip Epic avec la sortie de sa v5, Legions Imperialis, Olrick m'a offert une petite plongée dans le Vieux Monde avec une bataille opposant mes Orques & Gobelins à ses forces Impériales dans le cadre de la campagne de l'Héritier de l'Empire. C'était l'occasion pour moi de tester mon tout nouveau Lance-Rocs peint il y a quelques semaines déjà.

Alors comment dire... Ce fut une bataille expéditive. Difficile de défendre son territoire lorsque son armée refuse obstinément de bouger et qu'elle est équipée d'armes et d'armure en mousse ! Certes mon déploiement n'était pas super intelligent (j'aurais dû mieux répartir mes meilleures troupes plutôt que d'offrir un boulevard à Olrick sur mon flanc gauche tenu uniquement par mes Gobelins) mais j'espérais quand même réussir à envoyer ma cavalerie sur le flanc adverse pour le détourner de son objectif. J'espérais également le ralentir avec la redoutable magie des peaux-vertes mais elle n'a commencé à faire effet qu'à la fin de la bataille quand tout était déjà perdu.
De son côté Olrick manoeuvrait plutôt bien et en moins de deux heures c'était bouclé. A dire vrai, comme je m'acharnais à rater à peu près tous mes jets, je n'ai finalement fait que le regarder jouer. Plutôt frustrant.

Reste quand même quelques photos intéressantes et, surtout, une après-midi passée avec un adversaire super sympa. Tout n'est donc pas perdu.

Un grand merci à Olrick qui a fourni la table et à Wargamer Minis qui a imprimé le campement orque et qui en a peint une grande partie (ils sont faciles à repérer, ce sont les plus beaux).

Le comte Olrick Van Hiuren, fit entrer son maître espion Gobelin par la porte dérobée de son bureau. A son habitude celui-ci toucha du bout des doigts la statue de la naïade sur le bord de la bibliothèque, le comte le regardait faire, en fronçant les sourcils d’un air désapprobateur, ce qui déclencha un rictus sur le visage du gob. Ce drôle de rituel se déroulait à chacune de leur rencontres, signe d’une complicité ancienne.
Le comte sortit une bourse de son tiroir, le tintement des pièces tira le maître espion de sa méditation.
-Alors d’après vous, ils ont l’héritier ?
-Peu de chance Monseigneur, mais il ne faut négliger aucune piste, donc vous allez devoir entrer dans leur territoire.
Le comte leva les yeux au ciel, et lança la bourse vers l’espion, qu’il attrapa prestement, et la glissa dans son habit.
Passant à côté de la statue il se retourna vers le comte
On ne sent vraiment pas la réparation,
Le comte sourit et son interlocuteur s’éclipsa.
Il fit entrer son commandant,
-On part en campagne dans le territoire des orcs.
Le commandant qui était au fait de la rumeur avait devancé la nouvelle, les troupes étaient sur le pied de guerre. Une belle balade en perspective.

Les éclaireurs avaient repéré l’avant garde orcs, aux abords d’un village abandonné, c’est la qu’aurait lieu la bataille, ils rejoignirent l’armée

Ligne de bataille et premier tour l’artillerie prends la colline

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2e tour
L’empire se déploie pour contrer le déploiement orcs l’aile droite avance vers les gons alors que l’aile gauche sécurise en direction du campement abandonné.





3e tour
L’artillerie s’occupe du géant l’aile droite progresse vers les gobs

4e tour l’aile droite avance vers la cavalerie gob et arrive au contact, les chevaliers et pistoliers détruisent la cavalerie gob.
L’infanterie bloque les gobs dans l’oasis






5e tour
L’aile gauche se redéploie n’ayant plus à craindre la cavalerie Orc, l’infanterie sécurise le village et l’aile droite pénètre dans l’oasis des gobs.
Les chevaliers chargent le lance rocs et le détruise.
Le géant déjà affaibli charge et est détruit.







6e tour
La messe est dite les impériaux sont maître du terrain



Bonne partie avec François, c’est toujours un plaisir, je crois que son surnom pourrait être la « guigne », peu de ses ordres sont passés, et presque aucun sort. Idem pour mon sorcier qui a été plus héros que sorcier.

La horde des peaux vertes, s’enfuit laissant le champ de bataille au troupes impériales, les soldats fouillèrent attentivement le village et les oasis, les prisonniers qui acceptaient de parler, n’avaient jamais entendu parler d’enlèvement de quiconque. Il fallait se rendre à l’évidence, c’était un piège.
L’armée impériale se mit en marche pour rentrer chez elle.
Le comte Van Hiuren reçu le messager lui annonçant le résultat de la bataille, les pertes étaient minimes, il envoya un messager au comte électeur dont la grâce lui était nécessaire. Son regard se porta sur la statue, les informations de son maître espion lui étaient nécessaires pour conserver sa place. Il alla se servir un verre d’alcool de glace, caressa la naïade, effectivement la réparation ne se sentait pas, il sourit à ce souvenir d’enfance.

Merci pour le rapport de Bataille !

Joli rapport de bataille.
Dommage que les peaux vertes n'aient pas eu un peu de chance de temps en temps...

Eric Noé a écrit:

Joli rapport de bataille.
Dommage que les peaux vertes n'aient pas eu un peu de chance de temps en temps...

Pour ça il faut pas que ce soit Francois qui les joue

Mais le pire c'est que je ne suis pas sensé être le poissard du groupe. Moi je suis le mauvais stratège du groupe, il n'était pas question de malchance dans la fiche de poste !

Là j'ai cumulé. Mauvais déploiement et derrière aucune chance pour tenter d'y remédier. Forcément cela a été une balade de santé pour Olrick.

A noter qu'on a testé le malus unique de proximité de -1 à moins de 20cm d'une unité ennemie sans ligne de vue. J'ai trouvé cela beaucoup plus facile à calculer (c'est à moins de 20cm = malus, point à la ligne) et surtout à ne pas oublier.